Une nouvelle étude menée par des chercheurs de la San Francisco State University et publiée dans la revue NeuroRegulation, met à nouveau en évidence les risques de mal être et d’isolement liés à la pratique excessive des écrans.
Réalisée auprès de 135 étudiants, cette étude confirme les effets néfastes de l’hyperconnexion sur la vie sociale. Plus on est connecté, plus on est seul. Elle révèle également un autre effet délétère chez les jeunes qui sont connectés en permanence : la perte de concentration du fait que le cerveau n’est jamais mis au repos.
Mais cette étude est également porteuse d’espoir en mettant en évidence l’émergence d’une volonté nouvelle chez certains jeunes de préserver l’expérience de la vie réelle en adoptant des stratégies préventives. Certains ont choisi de quitter les réseaux sociaux, pour privilégier les relations de visu, d’autres ont décidé de délaisser leurs écouteurs pour davantage être à l’écoute de l’environnement qui les entoure. Autant de bonnes pratiques à suivre et à encourager…